Bertschy
Né le 7 octobre 1970 en Suisse romande, Christophe Berschy se fait vite d'inséparables amis de papier avec les incontournables icônes franco-belges que sont Tintin, Astérix, Lucky Lucke ou encore Johan et Pirlouit (mais surtout Pirlouit). Le « Buddy Longway » de Derib, qu'il lit chaque semaine dans la presse, lui est un détonateur, qui donne envie au petit Bertschy de s'adonner lui aussi au dessin professionnel quand il sera plus grand.
Jeune adulte, Christophe Bertschy suit une formation de graphiste à Lausanne, par laquelle il s'essaie à de nombreuses techniques. Il ne se consacre toutefois pas immédiatement à la bande dessinée, travaillant huit ans en tant que graphiste pour l'entreprise Philip Morris. En 1999, il remporte le concours « Nouveaux Talents » du Festival BD de Sierre. Repéré par l'équipe du magazine Tchô !, hébergeant Titeuf et toute la bande à Zep, il y imagine le héros légumier « Jimmy Brocoli » puis « Smax », un ado aussi cool qu'attachant et glandeur. Les Éditions Glénat publient, entre 2000 et 2005, 5 albums de « Smax », série sur laquelle Bertschy met au point une identité graphique forte grâce au dessin vectoriel - dessin par ordinateur utilisant la juxtaposition de formes géographiques.
Grand fan de strips (« Peanuts », « Calvin & Hobbes », « Dilbert »...), Bertschy remarque un jour la disparition d'une série publiée dans le quotidien suisse Le matin. Il propose immédiatement à la rédaction de la remplacer par les aventures d'un terrible diablotin orange - un certain Nelson - qui fera son arrivée dans le journal en 2001. Le succès des aventures de Nelson et de son souffre-douleur préféré, la jolie Julie, est immédiat. Ouvrant en grand les vannes de l'imagination, Bertschy accueille dans ses strips des personnages devenus aussi mythiques que Floyd le chien stupide.
En 2003, Nelson, un nouveau héros sympathique en diable, débarque dans Le journal Spirou dont il investit aussitôt la couverture. Le diablotin devient vite la coqueluche des lecteurs, séduits par le télescopage d'un dessin irrésistible et de gags à la redoutable férocité. Le premier album de « Nelson », Diablotin à domicile, paraît aux Éditions Dupuis en 2004. Super furax, le tome 22, est sorti en février 2020, témoignant d'une prodigieuse productivité. Inépuisable réservoir à idées, Bertschy a déjà signé près de 4700 bandes de « Nelson », publiés dans de très nombreux journaux, dans de très nombreux pays, faisant de leur auteur un grand maître du strip, sur les pas de références telles que Charles M. Schulz, Gary Larson ou Bill Watterson. Et cela ne fait que commencer !
Auteur des strips de Nelson, le terrible mais attachant diablotin faisant les riches heures de Spirou et les pires heures de sa coloc' Julie, Bertschy possède un univers identifiable entre tous. Publié dans de très nombreux journaux européens, auteur de 22 albums chez Dupuis, Bertschy est un indispensable pourvoyeur de bonne humeur autant qu'un maître de la narration dessinée, et plus particulièrement du dessin informatique dit « vectoriel ».
Jeune adulte, Christophe Bertschy suit une formation de graphiste à Lausanne, par laquelle il s'essaie à de nombreuses techniques. Il ne se consacre toutefois pas immédiatement à la bande dessinée, travaillant huit ans en tant que graphiste pour l'entreprise Philip Morris. En 1999, il remporte le concours « Nouveaux Talents » du Festival BD de Sierre. Repéré par l'équipe du magazine Tchô !, hébergeant Titeuf et toute la bande à Zep, il y imagine le héros légumier « Jimmy Brocoli » puis « Smax », un ado aussi cool qu'attachant et glandeur. Les Éditions Glénat publient, entre 2000 et 2005, 5 albums de « Smax », série sur laquelle Bertschy met au point une identité graphique forte grâce au dessin vectoriel - dessin par ordinateur utilisant la juxtaposition de formes géographiques.
Grand fan de strips (« Peanuts », « Calvin & Hobbes », « Dilbert »...), Bertschy remarque un jour la disparition d'une série publiée dans le quotidien suisse Le matin. Il propose immédiatement à la rédaction de la remplacer par les aventures d'un terrible diablotin orange - un certain Nelson - qui fera son arrivée dans le journal en 2001. Le succès des aventures de Nelson et de son souffre-douleur préféré, la jolie Julie, est immédiat. Ouvrant en grand les vannes de l'imagination, Bertschy accueille dans ses strips des personnages devenus aussi mythiques que Floyd le chien stupide.
En 2003, Nelson, un nouveau héros sympathique en diable, débarque dans Le journal Spirou dont il investit aussitôt la couverture. Le diablotin devient vite la coqueluche des lecteurs, séduits par le télescopage d'un dessin irrésistible et de gags à la redoutable férocité. Le premier album de « Nelson », Diablotin à domicile, paraît aux Éditions Dupuis en 2004. Super furax, le tome 22, est sorti en février 2020, témoignant d'une prodigieuse productivité. Inépuisable réservoir à idées, Bertschy a déjà signé près de 4700 bandes de « Nelson », publiés dans de très nombreux journaux, dans de très nombreux pays, faisant de leur auteur un grand maître du strip, sur les pas de références telles que Charles M. Schulz, Gary Larson ou Bill Watterson. Et cela ne fait que commencer !
Auteur des strips de Nelson, le terrible mais attachant diablotin faisant les riches heures de Spirou et les pires heures de sa coloc' Julie, Bertschy possède un univers identifiable entre tous. Publié dans de très nombreux journaux européens, auteur de 22 albums chez Dupuis, Bertschy est un indispensable pourvoyeur de bonne humeur autant qu'un maître de la narration dessinée, et plus particulièrement du dessin informatique dit « vectoriel ».
Ses oeuvres
Les œuvres auxquelles a participé Bertschy