Les organes de la violence

C'est un livre totalement inédit que nous proposent les Éditions i : "Les organes de la violence - Promenade dans l'inconscient de la France".

Avant de se lancer dans la bande dessinée, François Boucq était dessinateur de presse, d'abord pour Le Point (de 1974 à 1975) puis pour L'Expansion, Playboy et Le Matin de Paris. Ce qui explique son intérêt pour l'actualité et son dernier album, "Trump en 100 tweets" (2018).

François Boucq collectionne les récompenses :En 1985, il reçoit le Prix Bloody Mary pour "Les Pionniers de l'aventure humaine". L'année suivante, il est consacré par l'Alfred du meilleur album français pour "La Femme du magicien" (sur un scénario de Jérôme Charyn). Ses œuvres traversent les frontières : en 1992, il reçoit deux récompenses. Le premier en Allemagne, avec le Prix Max et Moritz de la meilleure publication de bande dessinée pour "Les Pionniers de l'aventure humaine". Le second en Italie, avec le Prix Yellow-Kid de l'auteur étranger, pour l'ensemble de son œuvre. En 1998, c'est l'une de villes les plus emblématiques de la bande dessinée qui lui rend hommage : il est honoré du Grand prix de la ville d'Angoulême. En 2006, il reçoit le prestigieux Sanglier du meilleur dessin des Prix Albert-Uderzo pour le quatrième tome de Bouncer, "La Vengeance du manchot". L'année suivante, il est distingué par un Prix Albert-Uderzo spécial pour l'ensemble de son œuvre. En 2012, il traverse à nouveau la frontière, belge cette fois-ci, afin de recevoir le Prix Saint-Michel du meilleur dessin pour le quatrième album de XIII Mystery, "Colonel Amos". Puis, en 2013, il retourne en Italie pour récupérer le Prix Micheluzzi de la meilleure série étrangère pour Bouncer (avec Alejandro Jodorowsky). Enfin, en 2015, il est finaliste du Prix de la BD Fnac pour "Little Tulip" (scénario de Jérôme Charyn).

Tirage limité à un peu plus de 200 exemplaires.